Un 1er avril plein de promesses

L’hiver fut sombre. Le printemps s’annonce mieux.
On doit bien rigoler chez Trump et dans son équipe, la plus efficace et la meilleure dans l’histoire des présidents US (lui dixit).
La moisson en ce début de printemps est riche. Par exemple. Le secrétaire d’État se demande publiquement ce qu’il fait là; la mission divine identifiée par sa femme est-elle vraiment motivante? Le vieux comparse du Boss, conseiller spécial jetable, offre publiquement son deal: raconter pour ne pas aller en prison. L’histoire est prometteuse.
Et alors?
Les affaires, on sait maintenant qu’elles ne passeront pas sous le tapis. Quelles sont-elles? D’abord, sans doute, une élection manipulée. Elle sera invalidée car même les USA ne pourront pas l’accepter. Trump sera mis dehors. Un grand vide restera à la place de l’exécutif.
Et ensuite?
La succession d’Obama est à reprendre. Ça ne s’improvise pas.
Que dire de remettre Obama en place, le temps d’organiser de nouvelles élections, et de faire une vraie réflexion sur ce qui s’est passé ? On n’y échappera pas.

J’espère que ce poisson d’avril sera fécond.