180 pays ont conclu en août, à Genève, les négociations pour venir à bout de la pollution par le plastique que le monde produit au rythme croissant de 400 millions de tonnes par année. Ils se sont mis d’accord de favoriser le recyclage et brûler le reste. Quant à agir en amont en réduisant la production, oh que nenni. Toucher aux affaires des producteurs serait contre la liberté de commerce. Résultat : pas de résultat ! Comme d’habitude, entre le fric et la protection de la planète, c’est le premier qui gagne. J’enrage !
Nature 646, 30.09.25, 1025 et 1038.
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